A PROPOS DE LA NEIGE sur PARIS du 8 décembre 2010
Les journalistes sont abominables, des oiseaux de mauvaise augure. Pas un pour racheter les autres.
Pas un seul n’a souligné LA BEAUTE DE LA NATURE et ses caprices. D’ailleurs les français en général ne se réfèrent plus à cette nature qui les chouchoute, les nourrit, leur offre la vie, des sports, l’hospitalité. Déphasés.!
Il y a pas mal d’années déjà, je me trouvais aussi bloqué dans ma 404 moins confortable que les voitures d’aujourd’hui, par le verglas et la neige sur un retour de Paris peut-être même sur cette fameuse N 118. Nous y avons passé la nuit. Que faisions-nous ? Nous discutions avec les autres automobilistes. Je me souviens avoir fait connaissance avec la fille de mon tout premier patron concessionnaire des tracteurs Massey Ferguson à DOMFRONT, Laquelle avait un salon de coiffure en banlieue non loin de là où nous étions. Quand j’étais l’employé de ce père, sa fille n’était qu’une enfant. Personne ne pensait, j’en suis certain à invoquer la responsabilité de GISCARD ou MITTERAND, ne me souvenant plus de l’année.
Pour bénéficier du pain quotidien, de viandes et des fruits de cette terre, tous les aspects du climat sont nécessaires. L’air, l’eau, le gel et le soleil sont tous autant indispensables. Et s’il pleut quand il gèle, c’est bien entendu de la neige que nous recevons. Celle-ci protège les céréales en terre par son manteau, si la température descend trop bas. Au dégel, l’eau pénètre les sols en profondeur. C’est une reconstitution des réserves. Au printemps ne dit-on pas que la neige est comme de l’engrais. En effet si le soleil réchauffe ce sol humide tout se met à revivre, devient luxure... et le blé grandit d’un seul coup.
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Nous faisons partie intégrante de cette nature aux aspects si divers et si riche. Mais, voilà, nos contemporains sont déphasés par la vie moderne, par leurs gadgets, leurs jouets dont fait partie l’automobile. Trop éloigné de l’essentiel : LA TERRE nourricière. Du temps des fiacres, les chevaux restaient à l’écurie tout comme aujourd’hui les avions pendant le blizzard. Quand les chutes s’arrêtent, alors il devient possible de s’accommoder des quantités tombées. Mais pendant qu’il neige, rien n’est possible. Il faut attendre et se mettre au chaud.
Il est urgent de croire que tout est relatif et en même temps que l'homme est une machine qui s'adapte toujours grâce à son esprit d'initiative et son imagination infinie.
Evidemment que le Canada, les pays nordiques s’accommodent de ce temps d’hiver normal chez eux. Pourtant ils ne sont pas mieux lotis quand la neige tombe en abondance. Réjouissons-nous toujours du temps qu’il fait. C’est le signe que cette planète est hospitalière. Que chacun y a sa place pour un séjour. Séjour de quelques années de vie. FORMIDABLE. :
Et de l'autre côté au QUEBEC:
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